Un grand Monsieur

Aujourd'hui, j'ai la chance d'assurer le service technique lors d'un événement auquel participe un homme qui a changé la face du monde : M Gorbachev. Il vient participer à une causerie sur la normalisation et le futur des véhicules.

Cela me fait vraiment bizzare : étant petit, né en pleine guerre froide, je fais partie de ceux qui savaient que, d'une seconde à l'autre, le monde pouvait basculer; la guerre nucléaire pouvait éclater. Mais M Gorbachev a initié la détente est-ouest. Il a rencontré le président Reagan à Genève pour leur premier sommet. Les grenadiers armés jusqu'aux dents gardaient la place des nations, des chars M-113 en position, munitionnés jusqu'aux écoutilles; ça ne rigolait pas.

Bien des années plus tard, les inimitiés sont oubliées et l'on parle d'industrie et d'écologie dans l'industrie. Je vois ce vieux monsieur, à moins de cinq mètres de moi, parler tranquillement, lui qui contribua a changer la face du monde.

M Gorbachev, vous ne me voyez pas et je ne représente rien pour vous, mais vous représentez beaucoup pour moi : un homme de bonne volonté ayant oeuvré pour la paix dans le monde. Oh, vous n'avez certainement pas les mains toutes blanches en tant qu'homme d'état d'une des plus grandes puissances au monde mais, en cette période de l'avent, vous me faites penser au verset de la Bible qui dit : "Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté".

Vous ne me lirez jamais, M Gorby, mais j'aimerais juste vous rendre hommage par ce petit mot, pour avoir instauré la perestroïka et initié la détente est-ouest qui amenèrent quelques années plus tard à la chute du mur de Berlin et à la fin de la guerre froide.

Merci l'ami Gorby !

Happy beurzday Linux !

C'est les 20 ans de la première release de Linux !

L'histoire de toute ma vie...

J'en ai fait baver mon monde...

...lorsque j'étais en dépression. Et maintenant, c'est moi qui en bave un peu.

C'est assez terrible de dire quelque chose avec amour à la personne qu'on aime, et qu'elle se ferme instantanément en me considérant comme hostile. Le fait que ce que je lui propose soit pour notre bien à tous les deux ? Même pas pris en considération. Crise de larme immédiate, suivie à la seconde d'un départ pour une autre pièce avec impossibilité d'échanger nos points de vue. Essayer de la raisonner ? Pour toute réponse "Fais ce que tu veux ce sont tes affaires, je ne veux rien savoir !".

Que je me fasse du souci ? Visiblement rien à braire. Tout aussi visiblement, elle ne me fait pas confiance; la confiance, c'est accepter que l'autre fasse des choses avec lesquelles on n'est pas d'accord; mais pas seulement, c'est l'accepter et le faire en étant en paix, serein.

C'est dur.

Un petit récapitulatif s'impose

Juste pour "rire", voici un petit récapitulatif de mes problèmes de santé. Visite guidée :

• Apnée du sommeil : victime
• Syndrome des membres sans repos : victime
• Dents cassantes (et cassées du reste; 6 à 7 à ce jour) : en partie responsable
• Bruxisme (peut-être fini, je ne sais pas) : victime
• Cartilage des rotules écrasé : victime
• Souffle cardiaque : victime

...Je vais bien, tout va bien :-D

Une de plus en moins !

...je parle de dents, bien sûr...

Aujourd'hui encore je me suis cassé une dent sur un simple club sandwich tout mou, ne contenant que des choses molles. Y'en a marre de ces dents ! Vivement le brise-nouilles...

Le plus beau dans tout ça ? Mon dentiste est en vacances pour encore six jours. J'ai six ou sept dents cassées, je peux de moins en moins mâcher correctement, ça me soûle.

Tout ça me fatigue

J'ai beau bien aimer mon travail, à la longue, ça m'use. J'en ai un peu raz-le-bol de devoir toujours gérer les mêmes problèmes pour les mêmes personnes. Mais bon, dans l'absolu, ça pourrait encore passer si je pouvais prendre un peu de temps pour me perfectionner dans ma branche ou pour, tout au moins, ne pas perdre mes connaissances.

Je suis particulièrement triste d'avoir appris deux métiers et de ne pouvoir en exercer aucun. J'ai appris le métier d'électronicien, et le métier tel que je l'ai appris est mort au cours de mes études. J'ai repris des études à 28 ans pour pouvoir travailler comme programmeur, et tout ce qu'on me donne c'est des postes de helpdesk vu que c'est le seul domaine dans lequel j'ai de l'expérience. Mais comment pourrais-je avoir de l'expérience dans ce domaine si personne ne m'en donne la chance ?!?!?!

M'engager comme administrateur système alors que je n'ai pas de certifications Kro$oft ? Autant ne même pas y penser.

Bref : Sire, on en a gros...

On aurait pu croire que... mais non.

Je pensais devoir reprendre les installations pour les deux semaines de vacances de mon collègue, et bien non : après ses vacances,le voila malade pour une semaine... et hop, une semaine d'installs de plus !

*vomit*

Une histoire de nems

Et c'est reparti...

...deux semaines à devoir reprendre les installations des nouveaux PC pour les clients. De là à dire que ça me les brise menu, il n'y a qu'un pas; je le franchis : ça me les brise menu.

Vala, c'est dit.

Ma visite chez le compte Vlad Tepes...

...s'est bien déroulée ce matin. Mais non, je ne suis pas allé en Transylvannie; je suis juste allé donner mon sang. Ce matin, comme une fois chaque année, le client pour qui je travaille organise un don du sang, et j'y suis allé. Ce qu'il faut savoir, c'est que je déteste cordialement me faire piquer. C'est une peur irrationnelle des aiguilles : le dos qui transpire, des tremblements, tout ça. Mais bon, qu'est qui est le plus important : moi qui tremble et qui flippe durant un quart d'heure ou quelqu'un qui risque de mourir par défaut de sang à lui injecter ?

Il faut savoir mettre ses peurs de côté au profit du plus grand nombre. Même si vous avez peur, donnez votre sang ! C'est important, facile et ça fait du bien à son prochain... Et en plus on nous offre une collation, ça ne gâche rien ;-)

Visitez le site du service vaudois de transfusion sanguine et allez donner votre sang. Note : si vous n'êtes pas dans le canton de Vaud, il y a des informations sur les opérations mobiles de don du sang près de chez vous !

Ça recommence...

La fatigue à une échelle industrielle me reprend. Masque respiratoire pour dormir, ou pas. C'est décourageant.

Le stress n'existe pas

Je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé, je ne suis pas stressé...

On verra bien si la methode Coué fonctionne.

Je croyais que ce serait hier, mais non : c'est aujourd'hui...

...la grosse journée de daube.

On commence par louper un tram, ce qui fait louper un train, qui me fait arriver en retard, etc. Petit café-réconfort en arrivant au taf' ? Il faut que je renverse la moitié du réservoir de la machine à café. Bref, un jour de plus où j'aurais dû rester au plumard.

C'est un fait sci-en-ti-fi-que

La grande baleine bleue produit un peu plus de 400 litres de sperme quand elle éjacule, mais seulement 10% de cette quantité est utilisée pendant la fécondation avec la femelle. Donc, 360 litres sont perdus dans l'océan à chaque accouplement... et après ça, vous vous demandez pourquoi l'eau de mer a un gout salé....

Troisième loi de Greer

Un programme informatique fait ce que vous lui avez dit de faire, pas ce que vous voulez qu'il fasse.

Le grand Victor a écrit :

Nous le noir genre humain farouche, nous la plèbe,

Nous, les forçats du sol, les captifs de la glèbe,

Nous qui, de lassitude expirants, n'avons droit

Qu'à la faim, à la soif, à l'indigence, au froid,

Qui, tués de travail, agonisons pour vivre...

Hugo, Légende, 1883, p. 299.